Histoire du café au Salvador

Histoire de la culture du café au Salvador Le café est arrivé dans ce pays entre 1800 et 1815. Il a commencé à être cultivé dans les hauts plateaux des systèmes montagneux salvadoriens, à l'ombre des arbres forestiers naturels, comme dans son lieu d'origine (Ethiopie Le principal boom dans l'agro-industrie du café-talera du pays se produit 70 ans après le début de la culture du café, lorsqu'elle a remplacé l'indigo comme principal produit d'exportation. A cette époque, le café était déjà cultivé régulièrement dans la région. les meilleures installations agro-écologiques pour son développement, ainsi que suffisamment d'établissements humains pour couvrir les besoins de main-d'œuvre.En 1940, le café représentait déjà 90% de la valeur totale des exportations du pays.

Le Salvador est un pays avec du café 100% Arabica. Environ 68% du territoire dédié à la production de café est planté de caféiers de la variété Bourbon, 29% avec Pacas

Entre 1950 et 1970, la caféiculture salvadorienne a été le protagoniste d'une modernisation technologique, de nouvelles variétés ont été introduites, comme le bourbon, et l'Institut de recherche sur le café a été créé. Ces facteurs, associés à deux décennies de stabilité politique, ont fait du pays l'un des plus productifs au monde, bénéficiant d'une image respectueuse de sa qualité. Le café d'El Salvador, avec le Guatemala et le Honduras, a été la ligne directrice pour établir les qualités d'autres Suaves, à l'échelle internationale. Ces trois pays étaient alors connus sous le nom de «Trois cavaliers de café d'Amérique centrale. Pendant plus d'une décennie (1981-1992), El Salvador a connu une guerre civile sanglante qui a ralenti une grande partie du développement du pays. Après l'accord de paix de 1992, un important processus de reconstruction a commencé, qui a servi à remodeler la nation et à structurer sa politique intérieure. Au cours de cette période, son industrie du café a subi une stagnation importante. Une fois cette étape franchie, aujourd'hui, le café se profile à nouveau comme une valeur économique de première grandeur, en se renouvelant, dans une stratégie qui cherche à récupérer et à obtenir la meilleure qualité possible dans la tasse, en profitant de l'excellence de la terre et ses habitants pour produire du bon café. Et tout aussi importante que sa qualité organoleptique est la qualité de sa forêt de caféier et sa nouvelle nature sociale, qui en fait une culture d'une valeur écologique incalculable.